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Ecriture & Bilan

Bonjour à toutes et tous !

L’heure d’un petit bilan d’écriture me semblait nécessaire, et cela va me permettre de mettre ce petit coin du net à jour du même coup !

Ijok

Lors de mon dernier journal, je vous ai parlé de mon travail sur Ijok (qui est un nom temporaire pour mon prochain roman).

Les choses ont ralenti depuis, je n’ai pas été capable de continuer sur ma lancée d’écriture intensive (tout simplement parce qu’écrire 50000 mots en 15 jours m’a un peu vidé de toutes mes forces !). A l’heure actuelle, le roman vient de dépasser les 65000 mots (et pour ceux d’entre vous qui ne savent pas trop compter en mots, ce que je peux comprendre puisque c’est un peu une obsession manie d’auteur, cela fait approximativement 220 pages A5, en Times 11).

Partie d’une seule intrigue, je me retrouve avec plus de quatre histoires imbriquées les unes aux autres, et ce qui devait me prendre 200 pages environ prévoit d’en faire de 400 à 600. Ne croyez pas que je me plains, j’en suis ravie au contraire !

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Venir aux nouvelles

Cela fait un bon moment que je n’ai pas mis ce petit coin du net à jour, je m’y colle donc !

Camp NaNoWrimo : je m’étais lancé le défi de participer au Camp NaNo de ce mois-ci pour avancer l’écriture d’Ijok (mon roman post-apo). Défi relevé, puisque j’ai dépassé mon objectif (50k) la semaine passée, avec plusieurs jours d’avances sur la fin du camp. Ijok fait actuellement un peu plus de 56800 mots (soit 195 pages A5). J’ai terminé la première partie, qui consiste en 9 chapitres avec divers points de vue.

On y a vu grandir les jumeaux et le monde qui les entoure, beaucoup de choses se sont ainsi mises en place et j’ai beaucoup aimé introduire l’univers par petites touches progressives ainsi. J’ai aussi fini la seconde partie, qui s’étend des 16 ans des jumeaux à leurs 17 ans, cette fois, après un événement primordial : l’exil d’Illan. Ijok est sur le point d’intégrer les rangs des Marche-Lunes.

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Retour & YYC !

Me voilà enfin de retour de Japan Expo ! Un petit post (en retard) pour vous remercier tous pour ces quatre jours intenses et tout bonnement géniaux ! Merci à tous ceux d’entre vous qui ont adopté l’un de mes livres, à ceux qui ont pris le temps de discuter, de partager leurs impressions sur leur lecture, merci du fond du cœur pour tous vos retours incroyablement positifs ! Et merci à mes comparses de stand sans qui tout cela n’aurait pas été possible !

Plusieurs tomes sont désormais en rupture de stock, je vais m’arranger pour que tout soit rapidement disponible de nouveau !

Un grand merci, de tête, à mes comparses de stand, à Marc-G comme toujours pour tous ces bons moments, vivement le prochain resto !, Soyouz pour toutes nos bêtises, ma tasse Q  et pour m’avoir piqué mon (parfois mauvais) café, Event Yaoi pour être passées discuter, ce fut un plaisir de mettre des visages sur les noms !, eeeet tous ceux que j’oublie sûrement parce que mon cerveau tourne à environ 2% de sa capacité ! A très très vite, j’espère !

Voici mon mini-loot de convention, j’ai été très raisonnable étant donné que j’avais déjà dû dépenser une fortune pour acheter un granité (les visiteurs de Japan Expo compatirons, haha !).

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Écrire (1)

Une petite série de questions, empruntée sur le site de Celia, concernant l’écriture. Elles m’ont attiré l’œil car elles permettent aussi de faire le point sur la façon dont je travaille.

Acte #01 – Quel est votre projet / univers d’écriture préféré ?

Sans grande surprise, mon univers préféré est actuellement celui de Sur les berges du Vide, qui touche à sa fin avec la conclusion du second tome. Ce sera donc un diptyque, un troisième tome m’étant apparu comme superflu lors de l’écriture. Rien ne m’empêchera, évidemment, de revenir à cet univers, d’y rejouer plusieurs aventures. Je le ferai avec grand plaisir.

Au-delà du projet en lui-même, j’ai adoré créer et mettre en place une histoire qui prenait pour cadre un univers semblable à celui du XIXème siècle. Je vais vous faire un aveu, si le roman se déroule dans une contrée imaginaire (celle de Gamandée), c’est parce que je n’arrivais pas à surmonter l’appréhension d’écrire un roman historique et d’y mêler des anachronismes trop flagrants, qui m’auraient valus les foudres des connaisseurs ! Je suis moi-même une passionnée de cette époque, de l’époque victorienne et édouardienne mais pas seulement, le Second Empire, la Belle Époque… Tout ce siècle dernier, pas uniquement en Angleterre. (Mince, je me rends compte que l’on ne peut plus dire « le siècle dernier » ! Le temps passe trop vite…).

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De la démotivation

Depuis quelques temps, afin de réussir à boucler le second tome de mon roman, j’ai réussi à m’imposer d’écrire un certain nombre de mots par jour. Cela m’a permis de découvrir plusieurs choses :

  • J’en suis capable : cela va faire presque trois semaines que j’écris, sans grand mal, environ 2000 mots par jour.
  • Cela m’est assez simple : en deux courtes sessions, j’arrive en général à assembler ces 2000 mots. Chacune entre 30 et 45 minutes, maximum.
  • Je m’éparpille énormément : impossible pour moi de rester en ligne pour les écrire, sinon je me retrouve malgré moi au bout de cinq minutes à peine sur n’importe quel site, même si cela partait d’une bonne intention au départ (comme chercher un synonyme). Solution trouvée : je coupe internet pour écrire…
  • J’ai les yeux rivés au compteur : je n’arrive plus, depuis un moment, à retrouver cette joie de me perdre dans mon texte. Je suis constamment en train de vérifier que j’avance, que les pages défilent, que les mots s’accumulent. Bien plus que de profiter de l’histoire et de mes personnages, comme c’était le cas avant.
  • J’avance plus vite avec un plan : j’ai la (très) fâcheuse habitude d’écrire sans plan, la plupart du temps, de suivre simplement l’évolution de mes personnages, de regarder par-dessus leur épaule pour les faire vivre et narrer, en quelque sorte, leurs aventures. Pourtant, afin de boucler à temps mon roman, j’ai dû une nouvelle fois me forcer à écrire un plan détaillé des quelques scènes qui me menaient jusqu’à la fin. Soudain, même si mes personnages continuaient à partir dans leurs divagations (ou plutôt les miennes), je me suis rendue compte que mon travail en était tout de même facilité. Même si j’ai beau détester les plans au plus haut point, ou surtout les rédiger, je dois m’avouer vaincue : ils me facilitent largement la tâche.

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